For Auld Lange Syne
IL n’y a pas d’adieux,
Il faut dire « Au revoir ».
Se quitter est odieux,
Il faut garder espoir.
Car » nous nous reverrons
Mes frères »…
Comme le dit la chanson.
Avec quel repère ?
Repère dans le temps…
Mais, mes trés chers frères,
Peut être dans mille ans….
Me soyez pas amers !
Car ce n’est qu’un instant ;
Ames soeurs, nous croisons
Aux fenêtres du temps.
Sûr, nous nous reverrons.
Il n’y a pas d’ adieux,
Seuls comptent les « au revoir ».
Et remettons aux Dieux
La suite de l’histoire.
Nul n’est parti, tu vois…
Qui nous est en pensée…
Visages, comme voix,
Ne se peuvent oublier.
Il n’y a pas d’Adieux.
Il y a toujours l’Espoir.
Nous revenons aux lieux
Bénis de nos histoires….
H.A.
Ton poème est parfait
répond parfaitement à mes idées du moment
parfaitement construit et idéalisé
Bonne soirée
Amicalement
Marie
Merci Marie.
Trés heureux de t’avoir été agréable.
Bonne journée. Amitiés. Hervé