Parfois la nature est fantasque
Qui vous donne à regarder
Le resultat de quelque frasque
Qu’elle a bien voulu concocter :
L’amour du prunier si vieux
Et de la rose à peine éclose.
Ils s’exhibent en un pas de deux,
Et lascivement ils s’exposent.
Surtout n’y voyez point malice
Et plaignez plutôt l’arbre vieux…
Souriez, que vos yeux se plissent,
Et laissez les plantes à leurs jeux.
Publicités
Beaucoup aimé celui-ci
les plantes elles aussi ont leur langage d’amour, de jeux, c’est dommage que nous soyons peu enclins à les décoder
Bonjour, et félicitation pour vos poèmes,
Je viens vous rendre visite, en passant chez Jo, que j’aime beaucoup. D’un milieu d’artistes, ma mère du théâtre de l’Atelier de Jouvet, et du Proscénium, disait des poèmes à la Coupole …dans une époque, dont je suis éprise…et qu’elle m’a fait connaître.
Je vois, dans vos plantes, des êtres, et ce parallèle me semble évident , moi qui suis une jardinière!Je reviendrai vous rendre visite. Les aléas de la vie m’ont éloignée de mon blog, pour une fois , en panne devant l’écran, en dix ans.
Amicalement
Dan
Merci de cette visite et heureux que mes travaux vous aient plu. Mon père était Scénariste et a écrit pour Giono. Je partage votre intérêt pour la grande époque des familiers de la Coupole…Mon épouse est une jardinière émérite et nous sommes très fleuris.J’aime beaucoup les poèmes de Jo.
Bien amicalement.
Hervé